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Lusigny-sur-Barse
Au cœur du Parc Régional de la Forêt d’Orient, Lusigny-sur-Barse vous propose de découvrir sa myriade de trésors cachés qui vous permettront d’affirmer : ce village mérite beaucoup plus qu’un détour !!
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Bienvenue à Lusigny-sur-Barse !
Au cœur du Parc Régional de la Forêt d’Orient, Lusigny-sur-Barse vous propose de découvrir sa myriade de trésors cachés qui vous permettront d’affirmer que ce village mérite beaucoup plus qu’un détour !
Située à une vingtaine de km au sud-est de Troyes, la commune compte un peu plus de 2300 habitants et demeure une porte d’entrée sur les magnifiques lacs de la Forêt d’Orient.
À chaque saison ses couleurs, ses senteurs, son atmosphère (sportive en été, mycologique en automne, pyrotechnique au printemps par ses senteurs – croyez nous, c’est un véritable feu d’artifice olfactif…), la chaleur et le dynamisme de ses commerces, … Bref, stop au délayage et partons ensemble à la découverte de ce patrimoine sans plus tarder avec ce jeu de piste !!!
Bonne découverte/balade, soyez attentif aux détails, nous comptons sur vous !
Elle symbolise la Voie de la 2ème DB qui emprunte le chemin suivi par la 2ème Division Blindée du Général Leclerc lors de la Libération de la France, depuis son débarquement en Normandie le 1er août 1944 à Saint-Martin-de-Varreville (Utah Beach – Manche) jusqu’à la prise de Strasbourg le 23 novembre 1944.
Tout au long de cette voie et dans chacune des villes et villages libérés par cette prestigieuse unité (16 000 hommes, 4 000 véhicules), une borne commémore l’accomplissement du serment de Koufra prononcé le 2 mars 1941 en Libye :
« Jurons de ne déposer les armes que le jour où nos couleurs, nos belles couleurs, flotteront sur la cathédrale de Strasbourg… »
De nombreux symboles figurent sur ces bornes comme le flambeau de la statue de la Liberté, le petit « A » de l’armée Patton, les 48 étoiles de la bannière américaine (l’Alaska et Hawaï n’étaient pas encore rattachés aux États Unis), l’insigne de la 2ème DB, l’inscription « voie de la 2ème DB 1944-1945 » et la distance entre Saint-Martin-de-Varreville et chaque borne.
À l’angle de la place se trouve une maison à pans de bois. Bien que cette maison ait été réhabilitée voilà quelques années, de nombreux éléments architecturaux propres aux maisons à pans de bois demeurent comme notamment le soubassement, la solive d’encorbellement, une tournisse…
Les croix de saint André (croix en frome de X) étaient également utilisées. Son nom provient de la forme de la croix qui aurait été utilisée pour supplicier saint André. Cet assemblage de 2 pièces croisées assure une meilleure rigidité au panneau et apporte d’autres bienfaits (évite le roulement et la déformation de la charpente).
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Prenez à droite jusqu’au 14 de la rue Genevois (espace France Services).
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Vous découvrez sur votre droite une œuvre surplombant le canal…
Crédit photo : © Olivier Douard pour Troyes La Champagne Tourisme
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Cet ancien presbytère baptisé « maison Emile Simonnet » rend hommage à l’abbé Simonnet (1913-1990), personnage particulièrement impliqué dans la vie du village.
Dans le jardin, vous découvrirez une machine agricole servant autrefois à séparer les grains des multiples indésirables ramassés simultanément (poussières, mauvaises graines,…).
L’église Saint-Martin a été construite au 16ème siècle et repensée au 19ème siècle dans un style similaire.
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Pesant de 15 à 20 kg, les plaques de cocher en fonte indiquaient 2 à 3 directions et étaient posées à environ 2.5m du sol pour être visibles des cochers sur leurs fiacres. Elles sont apparues au XVIème siècle et furent au début en bois.
Plus d’informations : www.plaquedecocher.fr.
Vous voilà arrivés au terme de cette balade. Nous espérons que la découverte de Lusigny-sur-Barse vous a permis de révéler les clés d’un « petit patrimoine » méconnu.
N’hésitez pas à réaliser les autres jeux de piste dans les autres villages de Troyes La Champagne et si vous souhaitez suggérer de nouvelles questions ou quiz, vous êtes les bienvenus.
S’il vous reste quelques minutes, rendez-vous avenue du 28 août 1944 face à la gendarmerie. Vous découvrirez une originalité : La maison au mur d’os.
Le mystère sur son origine reste entier même si plusieurs théories circulent…
Certains ont cherché à la rapprocher de coutumes attestées dans d’autres régions où les os étaient utilisés en tant qu’outils, en tant que support de treillage ou encore pour conjurer le mauvais sort.
D’autres sont convaincus que cette spécificité est liée à la campagne de France de 1814. À quelques encablures d’ici, à Courteranges, s’est déroulé un épisode historique : la défense du Pont de la Guillotière par l’armée napoléonienne face à l’armée de Bohême. Lors de cet affrontement, 400 chevaux ennemis ont été tués par les canons napoléoniens placés sur les hauteurs de La Guillotière. Quelques mois après, un habitant de Lusigny-sur-Barse, soucieux de construire solidement son mur de maison, aurait trouvé l’idée de récupérer les fémurs de chevaux pour assurer le maintien de sa construction.
Aujourd’hui, nous pouvons encore observer de nombreuses têtes de fémur dépassant du mur qui en fait une habitation, de plus de 200 ans, exceptionnelle en son genre.
